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DVD: Amour de Károly Makk

Amour
de Károly Makk.

prix Cannes 1971 pour le film Amour

Réalisé d’après deux nouvelles autobiographiques de Tibor Déry, un des chefs de file de la révolution hongroise de 1956, le film se déroule en 1953, pendant les purges du régime autoritaire de Rákosi.
Dans les rôle principaux nous retrouvons la magnifique Mari Töröcsik et celui d'Ivan Darvas, grand acteur hongrois qui a été réellement condamné aux années de prison à cause de sa participation à la révolution de 1956 en Hongrie.

La grande actrice hongroise Mari Töröcsik incarne le rôle d’une jeune fille qui, après l’arrestation brutale et infondée de son époux, János, s’évertue à protéger sa vieille belle-mère, mourante, de la terrible vérité: János ne reviendra sûrement jamais.
Elle invente une image glorieuse du fils, devenu réalisateur à succès en Amérique, forgeant des lettres pleines de nouvelles extraordinaires, et ayant trait à toutes sortes de recours pour dissimuler sa misère fracassante. Mais, lorsque János est libéré de façon inespérée, et qu’il revient à sa maison, il est déjà trop tard. Retrouvant sa fidèle épouse, il apprend la mort de sa mère.

Version DVD
29,90€ 14,90€
Fiche technique :
  •  Film hongrois, 1971, noir et blanc, 85 min, PAL
  •  VO hongrois, sous-titre Français
  •  Édité en 2005
  •  Titre original : Szerelem
  •  Réalisation : Károly Makk
  •  Scénario : Tibor Déry
  •  Photographie : János Tóth, couleurs
  •  Avec : Mari Töröcsik, Lilly Darvas, Ivan Darvas
  •  Musique : András Mihály
Compléments :
  •  Biographie / Filmographie
  •  Extraits Collection Clavis
  •  Menu interactif / Chapitrage
prix Cannes 1971 pour le film Amour
« Un chef-d’œuvre incontestable du cinéma hongrois, Amour, de Károly Makk, est un film merveilleux, réalisé avec la précision d’esprit qui enregistre le véritable amour. »
— P. Gilliat, The New Yorker
« Si la rigueur du scénario est exemplaire, la mise en scène, toute de retenue, sert admirablement le texte dont elle exprime les nuances avec le maximum d’efficacité, en s’appuyant sur une excellente direction d’acteurs. »
— L’Humanité
« D’une écriture frémissante. »
— Le Monde, 1971